Avec plein de bonnes idées en tête, Janin Fischer s’est mise en route en novembre. Quittant le Caucase, elle a mis le cap sur le sud. Cependant nul besoin d’avion ou de passeport, ce voyage s’est entièrement déroulé dans l’univers du PTB. Janin, qui était jusqu’alors coordinatrice de projet au sein du service Europe et CEI, se retrouve à présent à la tête du service Afrique du Nord et Proche-Orient.
Déjà lors de son parcours universitaire dans le domaine de la recherche sur la paix et les conflits, Janin s’intéresse à des thématiques relevant de la coopération au développement telles que : égalité et inégalités économiques mais aussi conséquences du changement climatique sur la société. Loin de la théorie du quotidien universitaire, Janin a l’occasion de s’initier aux aspects pratiques de la coopération au développement lors d’un stage dans la coopération internationale au PTB. Elle participe ensuite au programme de cycle postgrade à l’Institut allemand de développement (DIE) et « juste après, j’ai décroché une place au PTB, c’était vraiment optimal », se souvient-elle avec un grand sourire.
Au terme de trois années passées en tant que coordinatrice de projet, cette amatrice de thé décide de changer de cap. Elle se réjouit à l’idée de diriger le service Afrique du Nord et Proche-Orient. « Je suis curieuse de découvrir plus en détail la région et les projets et je suis impatiente de travailler avec mes nouveaux·elles collègues ! », déclare-t-elle. Elle est heureuse de faire partie d’un service aussi bien positionné. « Nous sommes une équipe diverse et variée – des « vieux habitués » avec des années d’expérience au sein du PTB, mais aussi des collègues nous ayant rejoints plus récemment et qui nous apportent de nouveaux savoirs », explique-t-elle. Elle décrit comment ces différences forment un tout bien équilibré, au même titre que les méthodes de travail se fondant sur le soutien mutuel et des relations cordiales.
Bien entendu, elle concède que la pandémie actuelle ne facilite pas les choses lorsque l’on prend un nouveau départ. Elle ajoute que le quotidien est ponctué de nombreuses visioconférences. « Je crois que la possibilité de voyager nous manque à tous », estime Janin. Les contacts personnels sont extrêmement importants pour les relations avec les pays partenaires. Mais l’optimisme de Janin est à toute épreuve : « Nous faisons du mieux que nous pouvons dans la situation actuelle. »
Et quand on lui demande ce qu’elle aimerait voir se réaliser dans son groupe de travail à l’avenir, elle n’a pas besoin de réfléchir bien longtemps : que les relations avec les pays partenaires restent positives et que de nombreux projets aboutissent !
Nous souhaitons beaucoup de succès à Janin dans ses nouvelles fonctions. Bienvenue et bonne chance!
Image © PTB, 2020